Si la référence au minimum est explicite aux Etats-Unis, dès le début des années 60, avec l’apparition de la musique minimaliste et, à peine plus tard, du minimal art, il lui faudra trois décennies pour s’imposer comme un des leitmotive de la presse architecturale internationale. Mais le phénomène aura considérablement gagné en force : cet « essentialisme », qui fait l’éloge de la sobriété, est aujourd’hui considéré, par les revues d’architecture les plus en vue, comme rien moins qu’un « signe des temps ».

(dir. Stéphane Dawans)

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